A un an de mettre les voiles

Dans un an ce sera l'heure du bilan. Cherrueix aura rendu son verdict. On connaitra le nom des champions, les pilotes et les bénévoles s'éloigneront.

On saura si réunir autant de classes sur les mêmes dates n'était pas trop ambitieux, classes 2, 3, 5, 7, 8 Promo, Standart, kart et radiocommandés (ces derniers ne devraient pas prendre trop de place). On saura si le pari d'utiliser simultanément trois parcours sera tenu.
Et puis, on saura si ce championnat aura été une "très belle fête du char à voile" ou "une vrai compétition". Étant entendu que l'idéal serait d'allier les deux. Certains se posent pourtant une question : si il ne peut être réalisé qu'un des deux objectifs, lequel l'organisation et la FFCV privilégieront-ils ?

Budget 300 000 euros

On sait déjà que pour réussir à faire de Cherrueix 2012 un championnat inoubliable, l'organisation se donne les moyens. On parle d'un budget qui tournerait autour des 300 000 euros. On sait que côté subventions, tout est normalement déjà bouclé. Reste à trouver des sponsors, de ce côté-là, la situation est simple, un "chasseur de partenaires" a été contacté. Celui-ci ne se paiera qu'en pourcentage de ce qu'il rapporte, il a donc plutôt intérêt à se retrousser les manches.
On se doute aussi que le prochain Grand Prix de Cherrueix, challenge Revert du mois d'août, sera une sorte de grand oral de passage, que le Noroit club aura à coeur de passer haut la main.

Pour le reste, on ne sait pas grand chose Même pas si Michel Drucker reviendra jouer au speaker sur le théâtre de ses premières prouesses de journalistiques. Pour les béotiens, sachez qu'en 1969, lors des championnats d'Europe qui se déroulaient à Cherrueix, le jeune Michel Drucker couvrait l'événement pour la RTF. Une telle médiatisation serait étonnante.

On ne sait pas si votre présentateur du dimanche après-midi préféré a été contacté, en tout cas, nous on lance l'appel : "Michel, si tu nous regardes !? "

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